Il y a une pénurie de familles d’adoption pour des enfants confiés à la Direction de la protection de la jeunesse.
Au micro de Luc Ferrandez, la chroniqueuse Geneviève Pettersen commente les révélations de Radio-Canada à ce sujet.
«Il y a vraiment un avant et un après-pandémie. On avait plus de familles candidates (200) pour l'adoption d'un enfant avant la pandémie, moins (79) maintenant.»
La chroniqueuse note que les nouvelles dispositions sur la DPJ (loi 15) y sont probablement pour quelque chose, aussi, mais elle y voit aussi un changement sociétal.
«Avant, on était dans une vision romantique de l'adoption».
De plus, le processus d'adoption est plus complexe. Les enfants adoptés ne sont plus des bébés, comme c'était le cas il y a des décennies.
On l'écoute...