Le nouveau président d'Hydro-Québec, Michael Sabia, songe à remettre en service la centrale nucléaire Gentilly-2.
Au micro de l'animateur Philippe Cantin, l'analyse politique nous rappelle qu'elle était la situation quand cette dernière a été fermée, en 2012, sous le gouvernement péquiste minoritaire de Pauline Marois.
«Le gouvernement Marois a mis fin à la centrale Gentilly-2 essentiellement pour des raisons économiques. On parlait entre 3 et 4,3 milliards $ pour la réfection, les coûts de l'usine de Gentilly. Là, on est en 2012.»
«Imaginez combien ça couterait, aujourd'hui, en 2023? Avec tout ce qu'on a vécu. Avec l'inflation. Imaginez à quel point ça couterait cher de rénover l'usine à Gentilly-2? [...] Si en 2012, c'était de 3 à 4,3 milliards, aujourd'hui, on va être revenu à 15 milliards?»
On écoute Philippe Léger...