Les chaleurs torrides que l’on connaît en ce moment - en Europe, aux États-Unis - refroidissent-elles les ardeurs des voyageurs?
Marie-Claude Lavallée a posé la question à Éric Boissoneault, vice-président de l’Association des agents de voyage du Québec.
«Il y a des gens qui posent des questions, mais on est dans un processus où les gens ont réservé assez tôt. Le «dernière minute» est un peu plus au ralenti pour l'Europe parce que les gens ne courent pas après le 44, 45 degrés... Mais chez les gens qui avaient déjà réservé, on y va et on s'adapte.»
Les phénomènes climatiques pourraient aussi inciter les voyagistes à orienter les vacanciers vers des destinations plus nordiques au mois de juillet.
On écoute Éric Boissoneault...