Selon les données glanées par le chroniqueur François Gagnon, le signalement de la date «meilleur avant» sur de nombreux aliments serait mal compris, causant du gaspillage alimentaire et des pertes financières pour les ménages canadiens.
«63 % des aliments auraient pu être consommés après la date de péremption, souligne-t-il. C'est une date ''meilleur avant'', mais pas jeter après.»
«Année après année, pour une famille, c'est en moyenne 1300 dollars de gaspillage d'aliments qui auraient pu être consommés d'une façon ou d'une autre.»
Un comité des Communes permanent sur l'agroalimentation songe d'ailleurs à refondre un peu la loi et faire de l'éducation sur les dates de péremption.
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