Week-end de la F1 à Montréal: est-ce que l’événement a des répercussions positives pour la métropole?
Le Grand Prix du Canada accueillera des centaines de milliers d’amateurs de course automobile. La ville, quant à elle, sera grandement animée, le jour comme le soir.
Écoutez les chroniqueurs de la commission Normandeau-Ferrandez, qui discutent avec l’animateur Paul Arcand de la tenue de cet énorme événement sportif à Montréal.
«On a parlé beaucoup du Grand Prix : la prostitution, les [impacts sur] l’environnement, la culture du char, le genre de personnes que ça attire, les bonnes comme les mauvaises. Ce qui m’intéresse dans cette affaire-là, c’est qu’il représente un magnifique rêve d’une autre époque. Il est sur sa fin. […] Il n’y a pas un gros gain pour la société.»
«Je pense qu’on est loin du rêve, justement. Le grand défi de la Formule 1 est de s’adapter à toutes les exigences liées à la carboneutralité. Si on croit ce que dit le grand patron du Grand Prix du Canada, François Dumontier, on est loin de la fin de l’événement à Montréal, qui est un événement majeur.»
L'entente entre le Grand Prix du Canada et le circuit de la Formule 1 prendra fin en 2031.