Le Parti québécois vient de dévoiler une publicité dans laquelle il reproche au gouvernement Legault de traiter les électeurs comme de la «marchandise électorale».
Au micro de Luc Ferrandez, Philippe Léger commente le ton de ladite publicité.
«Ce qu'on veut, notamment PSPP (Paul St-Pierre Plamondon), c'est accoler l'étiquette de brouillon, de quelqu'un qui ne respecte pas sa promesse, de marchandise électorale, à François Legault. C'est beaucoup de la politique américaine. Le ton, la musique, le suspense... C'est vraiment l'ADN d'une publicité négative à l'américaine.»
L'analyste s'étonne d'ailleurs de ce ton de la part du parti dirigé par Paul St-Pierre Plamondon.
«C'est peut-être le danger... PSPP, dans la dernière année, sa qualité première, ça a été d'être gentleman. D'être un politicien gentleman. Cette qualité, il l'a entretenu. Là, c'est peut-être le danger si on tombe là-dedans. Ça peut se reproduire...»
On écoute Philippe Léger...