Avec l’arrivée des températures plus clémentes, et avec les redoux de plus en plus récurrents en hiver, l’apparition des nids de poule dans nos rues est-elle inévitable?
Écoutez le professeur au Département de génie de la construction de l’École de technologie supérieure (ETS), Éric Lachance-Tremblay aborder avec Paul Arcand ses recherches en matière de chaussées et matériaux bitumineux.
Il explique que l’hiver qu’on vient de connaître n’a pas été très rigoureux, donc un hiver qui n’a pas été propice à la formation de nids de poule.
La problématique d’une grande ville comme Montréal selon lui c’est que plusieurs entreprises et intervenants ont des conduits sous la chaussée. La gestion et la planification des travaux représentent donc un grand défi. De plus, la ville est en réaction constante, ce qui constitue «un pansement temporaire sur une plaie», mais pas une réparation permanente.
Il nous offre un regard sur les possibilités qui s’offrent pour améliorer le réseau routier et faire de meilleures réfections.
On écoute l’entretien intégral...