«La première et dernière impression d’une arrivée ou d'un départ à l’aéroport de Montréal», voilà comment Jean-Luc Brassard titrait sa chronique au micro de Luc Ferrandez, mardi.
« Depuis aussi longtemps que je me souvienne, l’aéroport et ses alentours sont en construction, des viaducs en ruines nous accueillent», résumait-il.
«Et que dire de l'échangeur Turcot plein de «tags», des graffitis aussi laids les uns que les autres», ajoutait-il.
«Pourquoi ils ne font pas pousser de la vigne là-dessus?»