Une jeune femme victime d’agression sexuelle dénonce l’inaction de l’Institut maritime du Québec à Rimouski.
Elle en veut à son institution scolaire puisqu'elle a dû continuer à côtoyer son agresseur, car ils avaient des cours en commun. En fait, elle était obligée de le croiser pratiquement au quotidien.
Bénédicte Lebel décrit les évènements remontant à octobre 2020.
« L'école ne fait pas grand-chose pour mettre des limites. À chaque fois, je me faisais rappeler que lui aussi devait poursuivre ses études. »