En Afghanistan, l’accessibilité aux universités est amoindrie pour les femmes. D’ailleurs, l’armée fut présente pour leur fermer la porte.
Zabi Enayat Zadan, un Afghan d’origine, a commenté le dossier au micro de Marie-Claude Lavallée.
Selon lui, ce scénario était à prévoir.
«Les talibans, quand ils ont pris le pouvoir, disaient qu’ils avaient changé, mais pour les Afghans, c’était prévisible. Dès le début, les écoles secondaires étaient fermées pour les filles. Ils ont congédié les femmes qui travaillaient pour le gouvernement. Ils ont interdit aux femmes d’aller dans les parcs.»
M. Enayat Zadan a mentionné que la situation est loin de s’améliorer.
«Les talibans ne veulent pas voir les femmes. Ce n’est pas nouveau. Elles sont les souffre-douleurs de tout un peuple. Ça dure depuis des siècles, mais depuis les 30 dernières années, c’est de mal en pire.»
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