Même si 63,4 % des Canadiens affirment qu’un de leur appareil électronique ou électroménager s’est brisé dans les deux dernières années, moins d’une personne sur cinq (18,6 %) a tenté de le faire réparer, selon une étude d’Équiterre.
Lors de deux entrevues distinctes accordées mardi matin, Amélie Côté, analyste en réduction à la source chez Équiterre, répond aux questions de Nathalie Normandeau et Paul Arcand.
Équiterre a mené une première étude pancanadienne sur l’accès à la réparation.
L’organisme interpelle les gouvernements au sujet de la nécessité de mesures financières et législatives incitant à la réparation. Celles-ci devraient encadrer les fabricants et les consommateurs.