Spencer, le film portant sur les vacances de Noël de Lady Diana Spencer avec la famille royale en 1991, sort en salles au Québec ce week-end.
Au micro de Patrick Lagacé, la chroniqueuse Catherine Beauchamp et le « chroniqueur monarchique » Philippe-Audrey Larue-St-Jacques discutent de ce long-métrage particulier.
À priori, est-ce un bon film?
« J’ai vraiment beaucoup aimé ça, mais c’est vrai que c’est pour un public averti », assure le chroniqueur.
« Il y a un mais… C’est vraiment bon, mais… C’est comme… Je sors un album de Noël, mais… Le « mais » est important. Ce n’est pas pour tout le monde. Il faut vraiment être un amateur de monarchie et je pense même, amateur de cette histoire, afin de bien la mettre en contexte. »
Larrue-St-Jacques a bien aimé la reconstitution historique de ce long-métrage farci de plans fixes, lent, onirique, peu bavard, ainsi que le lien qu’on voit entre Lady Di et ses enfants.
« Il faut que les gens comprennent que ce n’est pas un film où l’on va voir une grosse chicane. C’est comme si on regardait l’iceberg rentrer dans le Titanic pendant deux heures. »