Alors que le président américain Donald Trump n’a pas fait le déplacement jusqu’à Belém, au Brésil, pour participer aux échanges internationaux sur le climat, les 50 États des États-Unis sont tout de même représentés lors de la COP 30.
Cette décision de Donald Trump est d'ailleurs largement critiquée, mais le recul environnemental opéré par le premier ministre du Canada, Mark Carney, l’est aussi.
Écoutez Patrick Bonin, député de Repentigny pour le Bloc québécois. Il est à la COP 30, à Belém, au Brésil, lundi, à La commission avec Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.
«Malheureusement, monsieur Carney, lui, s’est lancé davantage dans le pétrole, a financé davantage de projets ou mis de l’argent disponible pour les pétrolières et gazières, a enlevé plusieurs mesures importantes dans la lutte climatique… Mais ce n’est pas vrai qu’ici, on parle justement d’abandonner. Au contraire, avec les événements climatiques qu’on voit: les feux de forêt, les sécheresses, etc. Les gens veulent se retrousser les manches.»