Faute de budget, un appareil à la fine pointe de la technologie servant à l'évaluation des cancers, le TEP scan, fonctionne au ralenti et met en péril la sécurité de nombreux patients du centre hospitalier Pierre-Le Gardeur.
Malgré la volonté des technologues de faire des heures supplémentaires, l'administration refuse, laissant des patients en attente et potentiellement en danger.
Écoutez la Dre Isabella Lamargese, cheffe du service de médecine nucléaire au CISSS Lanaudière Sud, faire le point à La commission.
«Qu'est-ce que ça signifie? Que des patients se retrouvent sur une liste d'attente. Il y a une progression de leur cancer et ça fait toute la différence entre la possibilité ou l'impossibilité de guérir ou de devoir subir des traitements plus agressifs. Donc ce n'est pas acceptable pour ces patients-là.»