Aller au contenu
Montérégie

Une rétention de civières empêche les ambulanciers de répondre aux appels

Une rétention de civières empêche les ambulanciers de répondre aux appels
Le Québec maintenant / Cogeco Média

Le manque de personnel infirmier dans le milieu hospitalier se fait de plus en plus sentir.

Dans la nuit de lundi à mardi, plusieurs ambulanciers de la Montérégie ont dû rester au chevet de leurs patients à l’urgence de l'hôpital du Suroît, à Salaberry-de-Valleyfield, et ce, pendant plusieurs heures.

À un certain moment de la nuit, la moitié des effectifs prévus sur la route étaient contraints de rester à l'hôpital.


Écoutez Gaétan Dutil, le président du syndicat CSN qui représente 700 paramédics de la Montérégie, au micro de Philippe Cantin.


«Le tout a débuté vers 20h50. La première ambulance est arrivée à l'hôpital au triage, suite au manque de personnel et de lits. Demande réquisitionnée: on appelle ça dans notre langage, rétention de civière. Donc, à partir de 21 h et jusqu'à 22h40, on retient les ambulanciers avec la civière, puis le patient. Et tant que l'hôpital n'a pas pris la possession du patient, nous, on garde la charge du patient, donc on doit en prendre soin.»

Donc, concrètement, les ambulanciers ne peuvent répondre à d'autres appels d'urgences.

Abonnez-vous à l’infolettre du 98.5 Montréal!
En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Plus avec Philippe Cantin

«La musique, c'est ce trait d'union culturel de notre histoire» -Angelique Kidjo
Le deuil au coeur de l'album de Marie-Annick Lépine: «Cette vie-là, je l'aimais»
Le quiz de Biz du 14 mars

Vous aimerez aussi

L’écoute en direct débutera à la suite de ce message publicitaire.
Le Québec maintenant
En direct
En ondes jusqu’à 18:30