Il y a d'importantes différences entre le dessin d'un projet qu'on veut nous présenter, avec l'ajout de verdure, et la réalisation finale dudit projet, avec moins, voire pas, de verdure.
C'est ce qu'a présenté la journaliste de La Presse, Chloé Bourquin.
Écoutez à ce sujet le coup de gueule de Luc Ferrandez, à Lagacé le matin.
«Évidemment, il y a une intention maléfique. L'intention de faire passer de telles idées, c'est pas innocent, c'est l'intention de faire passer un mauvais projet pour un bon projet dans la plupart des cas. Mais au-delà de ces intentions, il y a quelque chose de bien plus grave qui est en dessous de tout ça. Je l'ai vécu à de nombreuses reprises et c'est pour ça que je voulais en parler. C'est le fait que lorsqu'on fait un projet, on s'intéresse d'abord aux trucs qu'on va construire, puis après il y a un concept, c'est les espaces résiduels. Généralement, c'est de la marde en palettes!»