Dans le cadre de sa chronique du vivant, Pierre Gingras, discute avec l'équipe de Patrick Lagacé de la prolifération inhabituelle des maringouins à Montréal.
Il cite des conditions météorologiques favorables cette année.
«Ce qu'on oublie, c'est qu'au Québec, il y a 50 à 60 espèces de maringouins et la majorité, la moitié des maringouins. Là, c'est des maringouins qu'on appelle "de printemps", et ils sont souvent gros, tandis qu'on oublie que des maringouins, il y en a durant toute la saison. Tenez-vous bien, vous risquez d'en avoir cette année, comme le temps est propice, jusqu'au mois d'octobre.»
Il explique que les maringouins sont attirés par l'odeur et que certains individus sont plus susceptibles d'être piqués que d'autres.
Pierre mentionne également que les méthodes traditionnelles pour éloigner les moustiques, comme manger de l'ail ou utiliser des chandelles odorantes, sont inefficaces.