Dans son deuxième coup de gueule, jeudi, Luc Ferrandez discute de l'éducation et du décrochage scolaire des garçons et des façons d'améliorer la situation.
Il cite l'exemple de l'école secondaire Dalbé-Viau, située à Lachine, où plusieurs mesures - dont la popularité du programme de football - ont permis de réduire le taux de décrochage des garçons de 40%.
Selon notre chroniqueur, plusieurs établissements d'enseignement ont trouvé des recettes qui fonctionnent à travers le Québec.
«On a la recette. Ce n'est pas compliqué [...] Ça a été démontré 1000 fois que les filles ont des capacités langagières, sociales, communicationnelles, une ouverture à l'information plus grande que les garçons quand elles sont petites. Et le garçon qui n'a pas ça, à un moment donné, il décroche. Il sent qu'il n'est pas à sa place. Mais lui, par contre, il a une énergie brute qu'il est capable de mettre dans du sport. Il veut s'affirmer, il veut développer son corps, il veut démontrer ses compétences.»