Un athlète olympique, un analyste de sport olympique et une journaliste à la description du volleyball de plage: Mario Langlois poursuit la discussion sur les Jeux olympiques et le mouvement olympique.
Écoutez Félix Dolci, Dominick Gauthier et Evelyne Audet en compagnie de Mario Langlois
Sur la perception du mouvement olympique...
«Ce que je retiens le plus, c'est une espèce de gros ouf! Enfin, le mouvement olympique a de quoi de positif à se mettre derrière la cravate et c'est grâce à Paris et à son comité organisateur. Depuis sept ou huit ans, je rencontrais plus de gens dans la rue qui étaient écoeurés des Olympiques. Et là, je pense qu'on a vraiment renversé la vapeur et on s'en va vers probablement quatre ou cinq ou six autres beaux Jeux.»
«Tout ce qui vient avec les jeux, c'est plus positif autant qu'avant qu'à l'époque qu'il y a 30 ans. Il y en a eu des bibittes dans les Jeux de Paris, mais ce n'est pas ce qu'on a retenu. Donc, au total, je pense que tu peux dire mission accomplie. Mais être organisatrice des prochains Jeux, je serais nerveuse. La commande est vraiment grande, la barre est haute», note Évelyne Audet.
«Si je dois faire un double salto en sortie de la barre fixe, j'essaie de me focaliser là-dessus, honnêtement. Mais c'est quelque chose que j'ai définitivement constaté. Et je pense qu'avec ce qui s'est passé aussi à Tokyo... Tokyo, ce n'était définitivement pas les jeux les plus palpitants de l'histoire des Jeux olympiques, mais après ce qui s'est déroulé à Paris, non seulement en termes d'exploits sportifs, mais aussi avec l'ampleur des réseaux sociaux, l'enthousiasme autour de ça. Je pense définitivement que ça a fait, ça a changé le jeu un peu»
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