À bien des égards, Félix Dolci a été le visage de l'équipe canadienne de gymnastique aux Jeux olympiques de Paris.
Écoutez-le au micro de Mario Langlois à son retour d'Europe parler de ses objectifs, de ses Jeux et de sa chute à la barre fixe.
«C'était mon rêve d'avoir la chance de participer aux Jeux olympiques, qui est la plus grande compétition internationale au monde, en gymnastique du moins. C'est certain que les jeux sont énormes en termes d'ampleur, non seulement pour quelqu'un qui fait juste se présenter dans le petit village, l'expérience, voir les autres athlètes, mais aussi de compétitionner devant 25 000 personnes, je pense que ça rajoute du punch au sport en soi.»
«Personnellement, je suis le genre d'athlète qui aime beaucoup performer sur cette pression-là, je dirais, qui performe mieux et vraiment davantage lorsqu'il y a cette pression, ce stress, on dirait que ça vient vraiment me stimuler encore plus. Quand on arrive dans le stade de compétition, il y a 25 000 personnes, des caméras à tout bout de champ, les flashs, etc. Je pense que ça peut être un élément vraiment perturbant, que ce soit positif ou négatif. C'est le rôle de l'athlète de l'utiliser à son avantage pour performer de façon positive.»
Autres sujets discutés
- L'expérience olympique: «Je suis devenu un meilleur athlète et j'irais jusqu'à dire, un meilleur individu.»
- Le retour à l'entraînement
- La chute à la barre fixe à cause du gant brisé en deux: «Comprendre ce qui s'est passé. Récolter davantage d'informations.»
Source: Félix Dolci/Cogeco Média