Dans sa chronique, jeudi, Geneviève Pettersen parle sans tabou de son utilisation du botox et de l'exploitation sexuelle à l'approche du Grand Prix.
Bien qu'elle reconnaisse la nécessité d'obtenir une ordonnance d'un médecin avant ses premières injections, elle émet quelques réserves par rapport à la nécessité d'exiger à un médecin d'être sur place en permanence.
«Ma réserve c'est qu'il faut qu'il y ait un médecin à la clinique de Botox tout le temps. Moi celle qui m'injecte, c'est une infirmière injectrice. Elle fait ça depuis des années. S'il y a des complications, c'est au même titre que quand tu vas au CLSC te faire donner un vaccin ou au centre de vaccination.»
Exploitation sexuelle pendant le Grand Prix
Geneviève Pettersen revient aussi sur un article de Maria Mourani dans Le Journal de Montréal qui traite de l'exploitation sexuelle pendant le Grand Prix.