Les États-Unis imposeront de nouvelles règles pour les chiens entrant sur leur territoire, et ce, dès le 1ᵉʳ août 2024.
Ces mesures, qui incluent notamment des exigences de santé, l'implantation d'une micropuce et la preuve que l'animal n'a pas contracté la rage, visent à éviter l'introduction de cette maladie sur le territoire des États-Unis.
La Dr Caroline Kilsdonk, médecin vétérinaire et bioéthicienne, se penche sur le sujet, lundi, au micro d'Élisabeth Crête.
«On nomme les variants de rage à partir de l'espèce pour laquelle ils ont le plus de prédisposition, puis dans laquelle le virus se répand le plus. Ceci étant dit, chaque variant de virus de rage a le potentiel d'infecter tous les autres animaux aussi. Et la rage canine est plus présente à l'échelle mondiale en ce moment alors il faut que les États-Unis resserrent leurs règles. C'est la situation mondiale qui exige.»