Une personne non-binaire a deux fois moins de chance de se faire appeler pour une entrevue d’emploi qu’une personne qui dit être un homme ou une femme, révèle une enquête du journal 24 heures.
La collaboratrice Geneviève Pettersen discute de l'article d'Élizabeth Ménard qui a envoyé des CV fictifs pour en conclure que "Charlie Labonté", identifié comme non-binaire, a reçu moins d'appels que "Noémie Laberge".
«Je pensais qu'on avait évolué davantage en 2024 parce qu'il y a des personnalités non-binaires, par exemple au cinéma. On en voit de plus en plus dans les séries même. On a des personnages qui sont des personnages non-binaires, donc ça m'a quand même surprise qu'on ait à ce point-là des préjugés.»
Écoutez-la discuter d'un sondage Léger de 2020 indiquant que 31% des Québécois hésiteraient à embaucher une personne trans...