Dans son édito lundi, Luc Ferrandez commente la saga opposant la ministre des Transports Geneviève Guilbault et les maires responsables des sociétés de transports concernant le déficit monstre dans le transport collectif.
«Il va falloir faire des choix courageux et avoir une vision ouverte et généreuse du transport en commun, mais pas illogique, pas irrationnelle. Il faut comprendre que ça a un coût.»
Selon La Presse, la ministre offre 200 millions de dollars, soit 70% du déficit conjoncturel des sociétés de transport du Grand Montréal, pour 2025.
L’ARTM évoque des réductions de services si l'offre du gouvernement Legault ne respecte pas sa demande qui s'élève plutôt à 420 millions.