En France, un récent rapport qui recommandait l'interdiction des téléphones intelligents aux moins de 11 ans et l'usage des écrans aux enfants de moins de trois ans, a poussé le premier ministre Gabriel Attal à prendre position et à s'exprimer publiquement sur la dangerosité des écrans.
Ici, qu'attendent nos politiciens?
«Je ne vois rien au gouvernement, ici, au Québec présentement, qui donne à penser que le ministre Drainville, que son patron, M. Legault, ont un point de vue là-dessus. Il y a plusieurs parents qui sont inquiets. Je leur donne la parole souvent. Il y a plusieurs éducateurs qui sont inquiets, il y a des médecins, il y a des chercheurs, etc. Ces inquiétudes-là, pour l'instant, n'ont aucun relais au gouvernement du Québec.»