Plus le stress lié à la pandémie était grand, plus les bonnes habitudes de vie des universitaires de premier cycle diminuaient, démontre une étude de l’Université Laval.
Élisabeth Crête aborde le sujet, samedi, à l'émission Même le week-end, en compagnie de Mathieu Filiatrault, étudiant à la Faculté de pharmacie et à la Faculté de médecine et premier co-auteur de l’étude.
«On était capable de voir une tendance : ceux qui avaient vécu un stress plus élevé [lié à la pandémie] avaient de moins bonnes habitudes de vie. On était capable de trouver des sous-groupes. Pour ceux qui avaient des troubles de l'humeur, des troubles de l'anxiété, des troubles comme du TDAH et qui n'ont pas eu d'accommodations, par exemple plus de temps pour les examens, de gens qui prennent des notes à leur place, etc., l'association était très forte.»
Écoutez Mathieu Filiatrault discuter des types de mauvaises habitudes qui se sont développés chez les personnes dont le stress causé par la COVID-19 était fort...