Le jeune premier trio des Canadiens, composé de Cole Caufield, Nick Suzuki et Juraj Slafkovsky, sera-t-il reconnu à travers la LNH et considéré comme faisant partie de l'élite dès la saison prochaine?
«Je pense que oui, parce que l'arrivée d'un deuxième trio va bonifier le temps de jeu des joueurs du premier trio. C'est-à-dire que Martin St-Louis va être capable de les cacher un peu plus (...) Actuellement, ils jouent contre les meilleurs et ils doivent composer avec une meilleure couverture contre toutes les équipes parce que c'est notre seul trio offensif. Ils réussissent quand même à produire. Je m'attends à ce qu'ils puissent atteindre, en trio, entre 90 et 100 buts. Et ça, s'ils atteignent ça, à ce moment-là, on va pouvoir dire qu'on a un trio élite dans la Ligue nationale.»
«Quand il a été embauché, c'est le mandat qu'on lui avait donné. Lamoriello avait été assez clair, il avait dit: "On fait le changement d'entraîneur parce qu'on veut être des séries pis on pense que Patrick Roy est le gars qui peut amener notre équipe." Là, écoute, il ne porte plus les jambières, mais il va peut-être réussir à le faire, même si ce n’est pas encore coulé dans le béton. Mais il a placé son équipe. Il s’est drôlement bien positionné parce que, à un moment donné, ils étaient sortis de la course...»
«Je suis impressionné parce que c'est quand même une équipe vieillissante (...) Tu regardes leur groupe de joueurs et ils n’ont pas beaucoup de jeunes dans leur organisation. Mathew Barzal joue le meilleur hockey de sa carrière depuis que Patrick est arrivé. Il avait une bonne saison, mais il est passé à un autre niveau. La difficulté pour les Islanders, c'était de générer de l'offensive tout en demeurant efficace défensivement. Et c'est là où le tour de force a été réussi. C'est là où ça m'impressionne...»
Parmi les autres sujets abordés:
- Le poste de John Tortorella est-il en danger à Philadelphie?
- La température dans les arénas de la LNH