On dit souvent que la prison est en quelque sorte une micro société. Or, comment reprendre sa vie en main lorsque la «vraie société» a changé à un point tel qu'on ne la reconnaît tout simplement plus?
Comment prendre un rendez-vous chez le dentiste, chez le médecin, comment se faire à manger quand, pendant une importante période de temps, tout a été fait pour nous entre les murs d'un pénitencier?
Écoutez la revue de presse d'Élisabeth Crête samedi matin commenter un article du Journal de Montréal qui parle de la vie après avoir purgé une peine de prison. Alors que certains d'entre eux ont décidé de s'investir dans la société, en aidant les jeunes à ne pas sombrer dans la criminalité, d'autres mentionnent à quel point il est difficile de s'organiser dans un monde qu'ils ne reconnaissent plus.
Autres sujets abordés:
- Les détenus du pénitencier de Drummondville peuvent consommer de la drogue sous la supervision du personnel médical, une première au Québec.
- Un contrat de 70 000$ entre le ministère des Transports et le Bureau d'écologie appliquée pour protéger un couple de faucons pèlerins, qui a élu domicile sur le pont de Québec, alors que des travaux sont nécessaires.
- Le prix du cacao est encore plus cher.