Les jeunes sont plus vulnérables aux attraits de la malbouffe que les adultes. Une étude de l'Université Laval suggère de bannir les pubs pour les plus jeunes publics.
Écoutez la discussion de Luc Ferrandez avec Geneviève Pettersen sur les publicités de l'industrie alimentaire et la malbouffe.
«C'est difficile pour eux de résister. C'est difficile pour eux de se retenir, par exemple de manger un gros sac de chips, un gros sac de bonbons, parce que c'est satisfaisant. Donc d'un côté, ils ont le cortex préfrontal immature, mais le système de récompense chez les ados, il est pleinement développé», explique Geneviève Pettersen.