Vingt-quatre ans. C’est le nombre d’années que ça aura pris pour retrouver l’agresseur de Guylaine Potvin, assassinée le 28 avril 2000 dans son appartement à Jonquière. Marc-André Grenon a admis cette semaine avoir causé la mort de la jeune fille, mais il plaide que ce n’était pas prémédité.
Au procès, une biologiste judiciaire est venue dire qu’il était des centaines de milliards de fois plus probable que ce soit l’ADN de Marc-André Grenon qui ait été retrouvé sur la scène du crime que de quelqu’un d’autre.
Écoutez Frank Crispino, professeur et directeur du groupe de recherche en science forensique à l’Université du Québec à Trois-Rivières, au micro de Patrick Lagacé.
Comment la police a-t-elle réussi à faire le lien entre cet ADN et Marc-André Grenon, 24 après les faits?
L'expert évoque la recherche d'une filiation directe biologique.
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