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Selon le Collège des médecins et Québec Transplant

Des bémols quant à l'inversion du consentement au don d'organes

Des bémols quant à l'inversion du consentement au don d'organes
Des spécialistes procèdent à une chirurgie sur un patient, dans une salle d'opération. / Getty Images

Est-ce que le fait d’inverser la façon de consentir au don d’organes permettrait d’augmenter le nombre de greffes? Possible. Or, le Collège des médecins et Québec Transplant soulèvent quelques bémols.

Dans les pays où il y a davantage de greffe qu’au Québec, cette inversion a été effectuée.

À l’émission de Luc Ferrandez, mardi, écoutez le Dr Jean-François Lizé, chef des soins intensifs du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), ainsi que Martine Bouchard, directrice générale pour Québec Transplant.

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