L'animateur Luc Ferrandez profite de son éditorial du jour, mercredi, pour ajouter quelques points au sujet des croisières, le thème abordé par la collaboratrice Geneviève Pettersen un peu plus tôt.
«Les exploitants peuvent prétendre qu'une partie importante des revenus est gagnée en mer, et donc, ils ne sont pas taxés dans l'un des pays. Sans doute qu'il y a de petits impôts liés, par exemple, lorsqu'ils passent du temps à quai, mais la part d'impôt doit être assez faible pour les exploitants. Donc, c'est pour ça que c'est un modèle d'affaires en croissance, de mettre une ville littéralement sur un bateau et de la faire flotter. Ce n’est pas juste parce que les gens en veulent», explique-t-il
Écoutez-le souligner les conditions de travail des employés...