L'animateur Luc Ferrandez met en lumière, mercredi, lors de son éditorial, la réalité des immigrants qui ne peuvent exercer la profession pour laquelle ils sont formés en arrivant au Québec, car leurs compétences ne sont pas officiellement reconnues.
«Est-ce qu'on peut demander du pragmatisme au ministère puis dire, au minimum, qu’on l'engage [dans le système de santé] ?, pas concierge!», se questionne l'animateur, en référence à un immigrant ukrainien qui était médecin avant d'arriver au Québec.