Vous enregistrez une entrevue, vous parlez pendant des heures de votre vie et quand vous allez être mort, on peut utiliser ça avec le concours de l'intelligence artificielle pour que vos proches vous posent des questions auxquelles vous allez répondre, avec vos mimiques, avec votre voix.
Ces révélations faites dans le New York Times lundi sont la base de ce qu'était le roman du québécois Jean-Philippe Baril Guérard, Manuel de la vie sauvage.
Et pourtant, Guérard a songé à cette hsitoire à la fin de 2016, peut-être début 2017.
«Dans le roman, c'est 100 % ce qu'il y a dans l'article! C'est-à-dire, on prend les traces de quelqu'un qui est décédé, des messages Facebook, des textos, tout ça, puis on nourrit ça dans un chatbot, puis on en crée un chatbot qui peut imiter quelqu'un.»
Une foule de questions légales et éthiques se posent.
On l'écoute...