Écoutez l’éditorial de Luc Ferrandez sur le projet d'autoproduction d'électricité de TES Canada à des fins commerciales.
Elle produira plus que les trois quarts de son énergie, avec un parc éolien et un peu de solaire. Un parc éolien de 800 mégawatts, entre autres, qui semble déranger.
«Moi je pense que quand tu décides d'une orientation qui va contre l'orientation de la nationalisation de l'électricité, qui est un des actes fondateurs du gouvernement du Québec dans les années 60, porté par René Lévesque d'abord, où on a décidé que la production d'électricité, ça allait se faire par Hydro-Québec, sauf dans huit cas de municipalités qui avaient déjà des unités de production ou, dans le cas d'alumineries qui avaient déjà des unités de production ou de distribution, là, tu changes de patinoire, tu t'en vas dans le très très important comme décision.»