Les difficultés financières des jeunes adultes font régulièrement la manchette depuis quelques mois.
Au cours des derniers jours, Le Devoir a relaté le parcours d'étudiants qui devaient fortement s'endetter pour retourner sur les bancs des universités.
En compagnie de Philippe Cantin, le chroniqueur Pierre-Yves McSween analyse les difficultés financières et l'insolvabilité des jeunes et il se montre plutôt empathique en raison de la réalité du marché actuel. Il y va d'un exemple assez précis.
«Quand j'ai fini mes études, à l'époque, t'épargnais deux ans et tu pouvais acheter une maison avec une mise de fonds. Tu t'endettais, mais tu étais capable d'acheter. Aujourd'hui, c'est les taxes de bienvenue que tu es capable de te payer….»
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