C'est la première fois qu'on voit autant de jeunes partir de Toronto et ça s'explique: à 2 620 $ pour un appartement d'une chambre. Qui peut se payer ça?, s'interroge Luc Ferrandez.
Résultante: on voit un exode des jeunes de la métropole ontarienne.
Dans son commentaire, l'animateur prolonge sa réflexion et démontre que ce qui se passe là-bas pourrait se reproduire à Montréal, au Québec.
Si les économistes soulignent que l'immigration pourrait suppléer ces départs «sociologiquement, ça pose des problèmes.»
«Sociologiquement, quand tous les Montréalais ou les Torontois sont obligés de quitter la ville et sont remplacés par des employés temporaires qui vont rester là trois ans et qui vont partir, ce n'est pas de même que tu crées une culture.»
On l'écoute...