Des manifestations sont prévues au pays en lien avec le conflit israélo-palestinien. La Gendarmerie royale du Canada a dit avoir découvert sur Internet des menaces émises à l’endroit de la communauté juive.
Chose certaine, les corps policiers mettent en place des mécanismes de surveillance et d’évaluation des actes potentiels de violence.
À l’émission de Luc Ferrandez, vendredi, écoutez Marcel Savard, ex-directeur adjoint de la Sûreté du Québec, qui a mis sur pied dans le passé la Structure de gestion policière contre le terrorisme, grâce auquel les divers corps policiers communiquent entre eux aujourd’hui pour gérer les potentiels événements terroristes.
«Il existe au Québec la Structure de gestion policière contre le terrorisme. Elle regroupe la GRC, le Service de police de la Ville de Montréal, la Sûreté du Québec et la Ville de Québec. Cette structure est axée sur la capacité de prévention, de réponse et de renseignement sur ce qui pourrait se passer dans les différentes communautés associées à [des enjeux] géopolitiques.»
