Lors de sa chronique à l’émission Sans réserve, jeudi, Geneviève Pettersen parle du «mensonge vert», celui utilisé par de nombreuses entreprises pour convaincre les consommateurs que leurs produits ont un impact moindre sur l’environnement, les humains, la faune et encore la flore.
Selon ce qu’affirme Marianne Desautel dans un article diffusé sur le site web de Radio-Canada, «40 % des arguments verts mis de l’avant en ligne par les entreprises n’ont de vert que le nom et peuvent être considérés comme une façon de faire de l’écoblanchiment». Elle cite une enquête de l’International Consumer Protection and Enforcement Network, un regroupement d’autorités en matière de protection des consommateurs.
Les résultats de cette enquête peuvent certainement alimenter le cynisme entourant les efforts en matière environnementale.
«Je suis prête à faire des sacrifices, à payer plus cher pour obtenir des choses qui, selon ma perception, sont [meilleurs pour l'environnement]. Quand il y a du marketing vert, en fait, je me fais souvent pogner…»
Qu’est-ce que l’écoblanchiment? Une entreprise, un individu, qui utilisent des subterfuges pour faire croire qu’un produit, un événement, une action non écologique est écoresponsable.