À l'occasion de sa chronique mardi matin, Pierre-Yves McSween revient sur la négociation entre François-Philippe Champagne et l’industrie de l’alimentation, alors qu'il ne sent aucun objectif clair du ministre si ce n'est qu'un travail d'image publique.
Il souligne que politiquement, il subsiste une lacune dans la menace du ministre de s'ingérer dans les prix, alors qu'on n'a jamais défini d'objectifs clairs.
L'objectif doit être SMART: spécifique, mesuré, atteignable, réaliste et temporel.
Quand tout va trop bien... on fait quoi?
Pierre-Yves McSween revient aussi sur une question d'une auditrice particulièrement chanceuse.
«Quand nos CELI sont pleins, nos REER sont pleins, nos droits de cotisations sont tous utilisés, notre hypothèque est payée… qu’il nous reste encore 4 à 7 ans avant la retraite… on investit dans quoi?»
«J'ai souvent le portefeuille à la place du cœur. Cette fois-ci, ma première réponse serait d'investir dans son bonheur.»
Pour le chroniqueur, la clé est maintenant d'investir dans son bonheur, d'investir dans une assurance vie et de contribuer dans le régime épargne-études de vos enfants, ou dans leur CELIAPP. On peut aussi investir dans une assurance vie permettant de couvrir le gain en capital.
Il suggère de discuter de ce «beau» problème avec son conseiller financier.