C’est la rentrée scolaire pour de nombreux élèves aujourd'hui. Pour la première fois, Québec a pris la décision de se doter d'un ombudsman en éducation. C’est donc aussi l’entrée en poste de ce protecteur national de l’élève. Quel sera son rôle?
Écoutez le protecteur de l’élève, Jean-François Bernier, en discuter avec l’animateur Luc Ferrandez.
«On a l'espoir et l’idéal que ça va être de faire une différence sur le long terme», soutient M. Bernier.
«Surtout quand on se rend compte que dans un dossier, ce n'est pas le seul élève qui vit cette situation-là. J’arrive avec mon bagage d'expérience que j'ai acquis ailleurs, pendant une dizaine d'années, puis je pense que ça va être mis à profit pour ce qui nous attend à partir d'aujourd'hui.»
«On ne pourra pas tout régler. Il faut gérer les attentes. On n'est pas des magiciens, puis, on ne pourra ne pas nécessairement tout régler, mais si on ne part pas avec cette idée qu’on ne peut pas faire une différence par notre action, on n'essaiera rien.»