Dans le sport professionnel, l'argent fait foi de tout au sein des équipes, pour le meilleur et pour le pire. Dans un circuit où l'on impose un plafond salarial, comme la LNH, chaque joueur est jugé en fonction de sa productivité. Certains athlètes sont donc d'une grande valeur, tandis que d'autres coûtent beaucoup trop cher pour ce qu'ils livrent sur la patinoire...
The Athletic a tout récemment fait paraître sur son site web un dossier sur les pires contrats offerts récemment par une équipe à un joueur.
Bien entendu, on ne peut pas réduire les joueurs à leur salaire et leur productivité. Plusieurs athlètes ont d'autres rôles à joueur que celui d'amasser des points, par exemple.
Néanmoins, c'est une bonne base pour évaluer l'exagération de certains contrats accordés. Disons que quelques joueurs sortent plus facilement du lot.
À l'émission de Kevin Dupont, jeudi soir, écoutez Paul-Christian Bergeron faire un tour d'horizon des pires contrats actifs de la LNH.
Selon the Athletic, les pires contrats sont:
- Seth Jones: 7 ans pour 9,5 M$ annuellement
- Colton Parayko: 7 ans pour 6,5 M$ annuellement
- Jonathan Huberdeau: 8 ans pour 10,5 M$ annuellement
- Tyler Seguin: 4 ans pour 9,9 M$ annuellement
- Marc Edouard Vlasic: 3 ans pour 7 M$ annuellement
- Brayden Schenn: 5 ans pour 6,5 M$ annuellement
- Travis Sanheim: 8 ans pour 6,3 M$ annuellement
- Ryan Strome: 4 ans pour 5 M$ annuellement
- Darnell Nurse: 7 ans pour 9,3 M$ annuellement
- Nicklas Backtrom: 2 ans pour 9,2 M$ annuellement
Un fait cocasse à souligner, l'attaquant du Tricolore Nick Suzuki a déjà fait partie de cette liste.
Kevin Dupont et Paul-Christian Bergeron abordent aussi quelques-uns des pires contrats dans l'histoire du circuit, dont celui de Scott Gomez: 7 ans pour 51,5 M$.