La propreté dans les grandes villes est constamment source de frictions et Montréal n’échappe pas à la situation.
Trois bonnes semaines après le 1er juillet – journée du déménagement -, de nombreux déchets sont toujours bien visibles dans bien des secteurs de la ville.
Philippe Cantin se penche sur le sujet avec trois intervenants : le journaliste Carl Marchand de Cogeco nouvelles, Glenn Castanheira, le directeur général de Montréal Centre-ville et Stéphanie Valenzuela, porte-parole de l’Opposition officielle en matière d’environnement et de développement durable.
Glenn Castanheira note que la situation n’est pas pire que d’habitude et il met les choses en perspective.
«Il y a très, très peu de villes où la ville, seule, est capable d’assurer la propreté d’un milieu aussi achalandé que le centre-ville de Montréal. Le centre-ville accueille chaque année de 8 à 9 millions de touristes. Des visiteurs, il y en a environ 400 à 500 000 par jour. Quand vous voyez des déchets sur la rue… Les poubelles ne se sont pas rendues là toutes seules. C’est quelqu’un qui les a mises là.»
Glenn Castanheria et Stéphanie Valenzuela sont d’accord sur un point, le pire problème est le «dépôt sauvage».
Qu’est-ce que le dépôt sauvage?
On les écoute…