Les municipalités et les villes ne peuvent plus ignorer les changements climatiques. Le verglas au mois d'avril, suivi des inondations à Baie-Saint-Paul et des feux de forêt ne sont que quelques-uns des impacts avec lesquels elles devront concilier.
Écoutez l’animateur Philippe Cantin en discuter avec le chroniqueur politique Philippe Léger.
«S'il y a une tornade qui touche une des municipalités et qui saccage une ville, ça, ça fait partie des finances, de l'argent, des économies», explique Philippe Léger.
«En ce moment, il y a une négociation entre les villes et villages avec Québec pour faire en sorte que, pour que les villes soient mieux adaptées, outillées pour faire face aux changements climatiques.»
«Il y a deux fronts aux changements climatiques. Il y a tout ce qui a trait à la diminution des gaz à effet de serre et l'adaptation au changement climatique. Et ça, c'est plus compliqué. Ça prend de l'argent, ça prend une vision à long terme. Donc ça prend de l'argent aux municipalités pour qu'elles adaptent leurs routes, leurs infrastructures, parce que les villes plus résilientes vont faire mieux face à des phénomènes météorologiques.»
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