Le sommet de l'OTAN, à Vilnius, a commencé avec un coup de tonnerre, lundi, et l'annonce que la Turquie acceptait que la Suède se joigne au regroupement.
Pourquoi un tel revirement? Philippe Cantin a posé la question à Jocelyn Coulon, chercheur indépendant en affaires internationales, et conseiller politique du ministre des Affaires étrangères en 2016-2017.
«Je pense que ce sont les concessions américaines sur les ventes d'armes à la Turquie. Ça fait longtemps que les Turcs veulent acheter des F-16 à défaut des F-35, c'est un peu compliqué, mais il y aurait eu déblocage là-dessus.»
On l'écoute...