Les recherches sont toujours en cours pour retrouver le sous-marin - disparu depuis dimanche - qui faisait du tourisme autour de l'épave du Titanic.
C'est une course contre la montre, puisqu’il reste peu d'oxgène pour les cinq passagers.
Au micro de Luc Ferrandez, Bertrand Sciboz, plongeur et chercheur d’épaves, note que l'opération est dangereuse dès le départ.
«Une opération touristique, ce n'est pas du tout pareil qu'une opération scientifique. Ce n'est pas les mêmes outils. C'est une hérésie de laisser perdurer ce genre de chose. Quand je plonge, c'est pour des missions bien précises, qui peuvent faire partie de mon plaisir, mais je suis aussi formé pour ça. Ainsi, je n'aurais jamais mis un pied à bord de ce sous-marin.»
Le spécialiste apporte bien des détails quant aux potentielles opération de sauvetage et à la capacité d'oxygène du submersible.
On l'écoute...