La consommation des Canadiens augmente malgré l'inflation, et ce, au détriment de l'environnement. Dans un tel contexte, les entreprises en marketing et en publicité devraient-elles continuer de faire comme avant?
Jérémie Rainville aborde la question dimanche avec Valérie Vedrines, fondatrice et présidente de Masse Critique, un organisme à but non lucratif qui œuvre pour réduire l’empreinte sociale et environnementale de l’industrie de la communication et du marketing au Québec.
Elle souligne que de plus en plus de travailleurs dans le milieu du marketing ressentent une grande dissonance cognitive entre leur valeur et l'impact de leur métier sur l'environnement.
«En fait, le milieu est très très ouvert, déjà très sensibilisé. Même la main-d'œuvre réclame à travailler sur des projets qui sont de plus en plus écoresponsables. C'est déjà quelque chose que les entreprises voient au niveau de leur main-d'œuvre, mais aussi des clients.»
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