À l’occasion du rapport hebdomadaire des commissaire, à l'émission Puisqu'il faur se lever, Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez ont parlé de certains enjeux qui ont retenu leur attention.
Nathalie Normandeau offre un prix citron au Parti conservateur d’Éric Duhaime pour sa mauvaise foi dans le dossier de la fête des Parents.
Par ailleurs, elle aborde le traitement du Collège des médecins qui a été combatif à l’endroit du ministre de la Santé, Christian Dubé.
«Bravo à Monsieur Mauril Gaudreault. Il a fait deux déclarations qui ont retenu mon attention. Il a dit: "Une jeune ingénieure québécoise pilote sur terre un véhicule qui roule sur Mars. Peut-on, s’il vous plaît, déclarer la fin du fax dans le réseau de la santé?". Il a déclaré aussi: "Nous continuerons de faire entendre notre voix afin de nous assurer que la protection du public est au sein de cette réorganisation". Évidemment, il commentait la grande réforme du ministre de la Santé.»
Elle aborde aussi les distances que prend le gouvernement fédéral quant à l’«initiative du siècle», le «formidable deux poids deux mesures du gouvernement de la CAQ».
Finalement, elle partage quelques bonnes nouvelles, dont celle que nous pourrons renouveler notre passeport via le web dès cet automne.
Du côté de Luc Ferrandez, il traite de l’idée que la sécheresse en Europe soit un complot aux yeux de certains...
«Il y a un élu espagnol qui a entériné ces thèses-là et qui a posé des questions. Ça, c’est amusant parce qu’il sait que c’est pour avoir des votes. Il n’est pas cave le gars, à moins qu’il soit vraiment idiot. Mais, il sait que c’est pour des votes et il sait qu’il va provoquer de la colère et de la chicane en mettant cette idée-là. Il sait qu'il fout le feu dans le consensus social à son propre bénéfice. Mon Dieu, que c’est typique de la fin de notre société.»
Ferrandez aborde aussi la semaine de Donald Trump, de même que l’aide aux immigrants au Texas.
Il parle également de l’étude américaine sur les coups à la tête au hockey et les conséquences sur l’espérance de vie des bagarreurs.