Un jeune homme du Saguenay a vendu une carte de collection du pilote de Formule 1, Lewis Hamilton, pour plus d’un million de dollars.
Écoutez le chroniqueur Pierre-Yves McSween aborder avec l'animateur Paul Arcand le coût fiscal minimum du gain lors de la vente d’un actif comme une carte de sport professionnel.
«Un million de dollars comme ça, ce n’est pas un gain de loto. Non, non. Tu as acheté une carte pour des pinottes. Là, jusque là, tu n’as pas d’impôt. Mais, une fois que tu l’as dans tes mains, puis que tu la revends... Hey c’est drôle, ça devient ce qu’on appelle en fiscalité un bien à usage personnel. Et un bien à usage personnel ça a un coût fiscal minimum de 1 000 dollars et tu t’imposes sur le gain. En français, il avait dans ses mains un gain imposable de 999 000 $. [...] Il a compris finalement qu’il allait avoir probablement une facture d’impôt d’environ 200 000 $.»
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«Le sociofinancement c’est "cute", mais le produit n’est pas encore opérationnel.»