L'histoire des deux enseignants qui ont été enregistrés en train de crier et d'insulter leurs élèves a porté, de nouveau, le milieu de l'éducation au centre de l'attention cette semaine.
Malgré les nombreuses critiques de la part des médias dont ce domaine fait l'objet, l'étudiante en éducation préscolaire, Mathilde Laliberté préfère garder espoir. Elle explique pourquoi, samedi, à l'émission Même le week-end.
«Après quatre ans d'université, nous avons vraiment hâte de mettre en pratique nos apprentissages et de mettre notre propre couleur dans notre classe», souligne l'étudiante à l’Université du Québec en Outaouais.
Elle souligne que, malgré l'apparence effrayante du domaine vers lequel elle se dirige, il s'agit d'une vocation et qu'elle ne souhaite pas se décourager dès le départ.
«Je crois que les situations de cette semaine ont révélé certains aspects de la société et du domaine de l'éducation. J'espère qu'il y aura certains changements et solutions.»
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